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Infolettre IW 2019 n°94

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Infolettre de l'Institut Wanxiang - 2019 n°94


Présence au monde :
bonne façon de
gagner sa vie

Éditions Cunzai :
Livres et parutions de
Michel Martorell

Lü Dongbin

 « Le Secret de la Fleur d'Or »

Les troubles musculo-squelettiques

Cure de sevrage du sucre
du 24 juin au 3 juillet 2019

Inscription avant le 8 juin!

Présence au monde

Pachy Zhen

Cinquième repère : bonne façon de gagner sa vie

Les repères précédents que nous avons énoncés se sont attachés à l'expérience initiale de notre Présence au monde et à la transformation, par cette expérience, de notre vie émotionnelle, de notre communication avec les autres, et de notre comportement quotidien, ordinaire. En d'autres termes, jusqu'à présent, nous nous sommes intéressés à la transformation de notre moi individuel, distinct. Avec ce repère, la bonne façon de gagner sa vie, nous nous intéressons à la transformation de la vie collective. Notre existence collective a trois aspects principaux : un aspect strictement social, un aspect politique, et un aspect économique.
Puisqu'ils occupent la plus grande part de notre existence éveillée, nos moyens d'existence ont, de façon évidente, un effet important sur la totalité de notre être. Je ne pense pas que nous réalisions toujours ceci. Mais si l'on fait quelque chose sept ou huit heures par jour (voire plus), cinq à six jours par semaine, cinquante semaines par an, et cela pendant vingt, trente ou quarante ans, ce n'est pas surprenant que cela nous marque, pour ne pas dire plus. L'effet que notre vie professionnelle a sur nous est une chose que nous devrions considérer et à laquelle nous devrions réfléchir.
Toutes les activités professionnelles comportent des aspects qui peuvent nous paraître plus ou moins « éthiques ». Ce n'est pas la peine de remettre en cause notre emploi parce qu'il exige de nous, occasionnellement, des pratiques commerciales ou des actes politiques que nous désapprouvons, ni parce que nous avons, globalement, des opinions différentes de celles de nos employeurs. Nous pouvons nous interroger et chercher à savoir si ces points heurtent nos convictions les plus profondes, et si nous pouvons exercer une action sur eux dans le cadre de notre activité. Dans le cadre de l’éthique développée ici, nous ne pouvons exercer une activité qui exige de nous l’usage de la violence, du mensonge, de l’abus de confiance, ou d’autres modes d’action qui seraient en contradiction directe avec cette éthique.
Le bouddhisme traditionnel va jusqu’à établir une liste d’activités professionnelles interdites aux pratiquants, à savoir : commerce d'êtres humains, commerce d'armes, de viande, de drogues ou de poisons. Certaines, telle que « marchand d’armes », restent d’actualité. D’autres (telles que celle de commerce d’êtres humains) ne peuvent guère se justifier que dans le contexte social de l’époque (quoique...). Chaque époque, chaque lieu, chaque contexte a sa liste d’interdits à examiner séparément.
Le sens du mot « métier » a même changé. Le terme «ministerium» en latin classique, qui signifiait à l'origine «besoin», a donné en français moderne les mots Ministère et Métier. Nous avons, en fait, de plus en plus d’activités et de moins en moins de métiers. Au lieu d’avoir une profession bien définie, qui exige un apprentissage et une lente pratique vers l’excellence, nous devons de plus en plus souvent redéfinir au jour le jour ce que nous faisons. Beaucoup ont souvent plusieurs activités différentes successivement au cours de leur vie, si ce n’est simultanément. Ainsi, de fait, il nous devient de plus en plus difficile de choisir un métier : ce sont souvent les tâches à effectuer qui, le plus souvent, nous « choisissent » au fur et à mesure qu’elles se présentent. Ceci met en cause notre capacité à « faire des choix », et en particulier des choix éthiques. C’est cela même qui donne la définition du mot « travail » dont l’étymologie, même si elle est controversée, le rapproche de « tripalium », instrument de torture.
Devoir « gagner notre vie » dans un monde de compétition laisse peu de choix pour évaluer notre activité sur le plan moral, parce que « si je ne le fais pas, quelqu’un d’autre le fera à ma place ». C’est l’argument du marchand d’armes.
Il est certain que nous ne vivons pas dans un monde idéal basé sur tous les principes auxquels nous croyons. Et même, ce « monde idéal » serait en fait un enfer. Des personnes différentes ont des besoins différents. Ce qui est bon pour nous ne l’est pas nécessairement pour les autres. C’est la raison pour laquelle il est important de garder dans le monde, et dans la société, des manières de vivre complexes. Ainsi, nous ne pouvons pas être en accord avec tout ce que nous voyons autour de nous, et nous ne pouvons pas non plus approuver cent pour cent des choix commerciaux, politiques, sociaux ou éthiques de nos employeurs. Certains de ces choix peuvent nous paraître mauvais, mais nous ne sommes pas en mesure de les remettre en cause en proposant des solutions simples et applicables. C’est pourquoi, afin de pouvoir exercer une activité professionnelle, il est nécessaire que nous acceptions une certaine liberté par rapport à nos choix politiques, sociaux, éthiques personnels.
Cela ne signifie pas non plus que nous ayons à accepter de faire n’importe quoi. Certains choix, comme de fabriquer des armes, de vendre des produits dangereux ou inutiles (produits de luxe, …), de gagner de l’argent par abus de confiance (publicité, politique, …), de travailler pour un employeur dont les activités favorisent la misère et la guerre (banques, fonds de pension, …), sont clairement néfastes. En ce sens, il me paraît important de :
  1) savoir évaluer les conséquences de son activité professionnelle,
  2) ne pas exercer une activité néfaste ou en contradiction avec ses convictions morales les plus profondes.
Dans le cadre de notre activité professionnelle comme dans le cadre de notre vie personnelle ou familiale, nous avons une influence sur notre destin propre et sur l’avenir du monde. Ainsi, nous constituons toujours un entre-deux, entre ce qui était avant nous et ce qui sera après nous. Pour gérer au mieux cette transition, je suggère de :
   a) toujours apprendre quelque chose de son activité professionnelle, et toujours être l’élève de quelqu’un,
   b) de la même façon, toujours être l’enseignant de quelqu’un, toujours former de nouvelles personnes à exercer cette même activité, de façon critique,
   c) savoir modifier son activité de l’intérieur, pour la rendre meilleure ou plus conforme à ce qu’on croit juste.
Enfin, pour avoir une présence la plus efficace possible, et pour pouvoir l’adapter au jour le jour aux nouvelles situations, je pense important de :
   a) savoir pratiquer professionnellement plus qu’une seule activité,
   b) pratiquer au quotidien une éthique de travail fondée sur 1/ la confiance, 2/ la coopération plutôt que la compétition, 3/ la volonté de trouver l’intérêt de tous.
... {à suivre}
{Chroniques Chan}

Que toutes choses prospèrent en paix.
雷宓谐  dit Michel

Éditions Cunzai

Livres et parutions de Michel Martorell.

La plupart des traducteurs de Chine continentale traduisent « être » (présence) par « zài » ou « cúnzài ».
Dans les versions chinoises de "Être et temps" (Heidegger) et de "l’Être et le néant" (Sartre), le verbe « être » a été traduit par « cúnzài ».
La notion de « cúnzài », étant toujours liée au temps et à l’espace, ne peut jamais décrire un état libre. Doté d’une dimension temporelle, le premier caractère « cún » signifie « du commencement à la fin » ou « de la vie à la mort », tandis que le deuxième caractère, « zài », se rapporte toujours à un lieu. Ainsi les éditions Cunzai ont pour objet de diffuser les écrits en rapport avec l'être et la Présence... En fait un second aspect de Wànxiàng qui signifie  "l’ensemble des phénomènes de la terre"...
Deux livres sont actuellement proposés:
1. Espace du trouble et entre-deux (Tome 1) : Essai sur la scène intérieure dans la pratique du qigong
2. Espace du trouble et entre-deux (Tome 2) : Essai sur comment vivre sa présence au monde par la pratique à deux
Dont le sujet est d'expérimenter sa présence au monde mais aussi un Ouvert agissant afin d’éprouver l’Autre en lui servant de « transformateur » de son être émotionnel. Une pratique méditative à deux, dont la révélation mobilise certaines émotions cachées dans une forêt bien rangée… celles des émotions. Les émotions fixent et ouvrent à l’horizon du monde, dans la présence en liberté, pour être réellement relié à l’état naturel. Cet état même qui est recherché dans la méditation Chan (Zen), i.e. l’aisance naturelle.

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Qigong Emei

Qi Gong Emei

Le Qi Gong du Mont Emei développe le calme mental par un travail statique, et des exercices dynamiques.
Mardi, mercredi, vendredi et samedi : 8h30 à 10h00
Lieu : l'Institut.

Pas de cours du 1er au 4, le 8, du 30 mai au 1er juin 2019.

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Qigong diabésité

Qi Gong Diabésité

Pour tous ceux qui veulent prendre conscience du métabolisme de leur corps et atteindre le calme mental. 
Lundi, mercredi, vendredi et samedi : 10h30 à 11h30.
Lieu : l'Institut.

Pas de cours du 1er au 4, le 8, 20, du 30 mai au 1er juin 2019.

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Méditation taoïste

Méditation taoïste

Raffiner le corps et l'esprit pour atteindre la liberté intérieure.  C'est une Voie de l'alchimie interne, un chemin de transformation du corps et de la conscience
Mercredi : 18h00 à 19h00
Lieu : l'Institut.

Pas de session les 1er & 8 mai 2019.

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Lü Dongbin (796-1016 ), « Le Secret de la Fleur d'Or »

L'esprit originel et l'esprit conscient

..."  Les hommes ordinaires engendrent leur corps à l'aide de leurs pensées. Le corps n'est pas seulement le corps extérieur grand de sept pieds. Dans le corps est l'âme inférieure. L'âme inférieure s'attache à la conscience comme à son effet. La conscience dépend de l'âme inférieure pour naître. L'âme inférieure est féminine (yin), c'est la substance de la conscience. Aussi longtemps que cette conscience n'est pas interrompue, elle continue d'engendrer de génération en génération, et les changements de forme de l'âme inférieure aussi bien que les transformations de la substance ne cessent pas.
Auprès d'elle toutefois est l'âme supérieure dans laquelle se cache l'esprit. L'âme supérieure habite dans les yeux durant le jour et réside dans le foie durant la nuit. Habite-t-elle dans les yeux? Elle voit. Réside-t-elle dans le foie? Elle rêve. Les rêves sont les voyages de l'esprit errant à travers tous les neuf cieux et les neuf terres. Mais celui qui est sombre et confus au réveil, enchaîné à la forme humaine, celui-là est enchaîné par l'âme inférieure.
C'est pourquoi la révolution de la lumière produit la concentration de l'âme supérieure et, par ce moyen, la garde de l'esprit; ainsi l'âme inférieure est assujettie et la conscience est abolie. La méthode des anciens pour sortir du monde consistait à fondre parfaitement les scories du principe obscur pour retourner au créateur sans tache. Cela n'est rien de plus que réduire l'âme inférieure et de parfaire l'âme supérieure. Et la révolution de la lumière est le moyen magique pour réaliser la réduction de l'obscurité et la maîtrise de l'âme inférieure.
"...
Note : Les deux yeux qui ont pour symboles le soleil et la lune, figurent la dualité originelle, dédoublement de l'Unité première, laquelle a pour correspondant en l'homme l’œil central, frontal, immuable qui est la base et le terme du mouvement.

La Fleur d’or de la grande Unité (太一金華宗旨 Taiyi jinhua zongzhi), connu sous le nom du Secret de la Fleur d'or, a été imprimé pour la première fois au XVIIIe siècle après avoir fait l'objet d'une longue transmission orale. Il s'agirait de l'enseignement du grand sage taoïste Lü Dongbin (Lü Yán, appelé aussi Lü Zhu : patriarche Lü) qui vivait au VIIIe siècle. Cet ouvrage décrit une méthode pour passer de la dualité à l'Unité première et dernière, le Tao. La dualité, qui a pour origine et symboles universels les deux principes cosmiques : le yang lumineux et masculin et le yin obscur et féminin. {Traduction du texte : Étienne Perrot}

L’ergonomie en Chine : les troubles musculo-squelettiques

L’OIT (Organisation Internationale du Travail) travaille avec les syndicats et le gouvernement chinois pour réduire les effets du stress et d’une mauvaise ergonomie sur les travailleurs.
Les questions d’ergonomie et de stress lié au travail sont relativement récentes en Chine et le grand public n’est guère sensibilisé. Mais les conséquences sont bien connues : douleurs chroniques du dos, du cou, des épaules et des poignets; fatigue oculaire et fatigue due à une posture assise ou debout prolongée, à des tâches répétitives ou au port de lourdes charges; en plus de problèmes psychologiques comme du stress ou de l’anxiété causés par des horaires de travail intensifs.
L’ergonomie est parfois considérée comme une question mineure de sécurité et santé au travail (SST) par rapport à d’autres enjeux tels que les grands accidents industriels ou les maladies comme la pneumoconiose – due à l’inhalation de poussières dangereuses – qui affecte habituellement les mineurs et qui est la maladie professionnelle la plus couramment répertoriée en Chine.
Cependant, en France, les maladies liées à l’ergonomie – en particulier les troubles musculo-squelettiques (TMS) – figurent parmi les principales causes de maladie chez les travailleurs. En 2015, les TMS ont représenté plus de 87 % des maladies professionnelles ayant entraîné un arrêt de travail ou une réparation financière en raison de séquelles {ameli.fr}.
L’industrialisation rapide de la Chine signifie que le pays risque de suivre la même voie et de voir émerger les TMS comme l’une des maladies professionnelles les plus courantes.
La Chine compte environ 42 millions de PME, avec peu de ressources et de capacités pour faire face aux risques internes en matière de SST. Pour répondre à ces besoins, le Manuel d’ergonomie pratique en 128 points de l’OIT a été conçu pour être peu onéreux, pratique et facile à mettre en œuvre. Le Manuel a été introduit en Chine en 2013 par la Fédération nationale des syndicats de Chine (ACFTU ) et l’Institut national de la santé au travail et du contrôle des intoxications (NIOHP ), dans le cadre de leur projet de SST, qui bénéficie du soutien technique de l’OIT. {ilo.org/beijing}

Que sont les troubles musculo–squelettiques ?

Les troubles musculo–squelettiques (TMS) regroupent des affections touchant les structures situées à la périphérie des articulations : muscles, tendons, nerfs, ligaments, bourses séreuses, capsules articulaires, vaisseaux sanguins…
Les parties du corps les plus fréquemment atteintes sont : le dos, les membres supérieurs (poignet, épaule, coude), plus rarement les membres inférieurs (genoux).
Les TMS ont des causes multiples, mais l’activité professionnelle, ainsi que quelques activités de loisirs, jouent fréquemment un rôle dans leur survenue, leur maintien ou leur aggravation. Parmi les TMS les plus fréquents, on peut citer :
•    les lombalgies (douleurs au niveau du bas du dos),
•    les cervicalgies (douleurs au niveau du cou),
•    le syndrome du canal carpien au poignet,
•    le syndrome de la coiffe des rotateurs à l'épaule,
•    l'épicondylite latérale au coude.
Moins fréquents, les TMS des membres inférieurs surviennent également. Le plus connu est l’hygroma du genou.

Quels sont les facteurs favorisant les troubles musculo-squelettiques ?

Les facteurs favorisant les TMS sont multiples. En dehors du rôle des facteurs biomécaniques et environnementaux, des contraintes psychosociales (facteurs qui reposent sur la façon dont le travail est perçu par le salarié) et des contraintes organisationnelles des activités professionnelles et extra–professionnelles, les facteurs individuels jouent également un rôle.
Des facteurs individuels peuvent favoriser la survenue de TMS, dont l’âge, la fragilité physique (diabète, hypothyroïdie, rhumatisme inflammatoire,fatigue, surpoids, baisse de l’immunité) ou la fragilité psychologique. La médecine chinoise peut diagnostiquer les déséquilibres fonctionnels à l’origine des facteurs individuels qui favorisent les TMS et le stress au travail et lors des « loisirs » (ex. compétition, etc.)

Le traitement des troubles musculo-squelettiques

Des traitements adaptés permettent de soigner les TMS. La première des choses à faire est la suppression des facteurs favorisants, à savoir, et selon les cas, l’arrêt, quand il est possible, des activités de force, répétitives ou posturales ; il est impératif d'agir sur les facteurs externes qui favorisent le trouble musculo-squelettique, par la mise en place de l’ergonomie au travail.

La médecine chinoise a son rôle à jouer à plusieurs niveaux :

•    Soulager la douleur et traiter la cause physiologique de la faiblesse à l’origine du TMS (en dehors de l’ergonomie). La prescription de médicaments antalgiques (comme le paracétamol) et anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS (ibuprofène, kétoprofène) ou l’aspirine, souvent nécessaire, ne traite pas les facteurs individuels décrits plus haut. Voir le Guide pratique sur la douleur.
•    Préparer le corps et l’esprit à la pratique de son activité professionnelle ou non, grâce au Qi Gong qui est un véritable allié dans le cadre de la prévention des Troubles Musculo Squelettiques (TMS), du stress et des Risques Psycho Sociaux.
•    Se reporter au présent éditorial qui examine « la bonne façon de gagner sa vie », qui, a minima, ne devrait pas la mettre en danger !


Source : Les informations concernant la Chine sont issues de sites chinois.
雷宓谐  dit Michel

Cure de sevrage du sucre - Retraite de 10 jours pour trouver la liberté !

Fatigue extrême, difficulté à prendre des décisions, surpoids, diabète ou cholestérol, rhumes et toux récurrentes, problèmes de peau, démangeaisons fréquentes, douleurs chroniques, ballonnements, ...

Autant de symptômes, plus ou moins graves et plus ou moins gênants, qui peuvent venir de là où l’on s’y attend le moins.
Ressentez-vous une dépendance, une addiction à la nourriture, et particulièrement au sucre ?
Les industries alimentaires jouent avec notre santé, car elles ont bien compris une chose : le sucre est addictif. Ce dernier est 8 fois plus addictif que la cocaïne.
Le but n’est cependant pas de supprimer totalement le sucre. L’objectif est d’identifier le "bon sucre" du "mauvais sucre", de sélectionner les aliments dont le sucre est naturellement présent et d’éliminer les autres. Mais plus facile à dire qu'à faire!
Après plusieurs années de pratique, il faut constater que la théorie pour se sevrer du sucre ne suffit pas. Il faut aller plus loin.
Accompagner, instruire, apprendre à écouter son corps, apprendre à évacuer le stress, mais surtout réapprendre à manger, et découvrir les aliments qui guérissent, pratiquer des exercices de santé millénaire, adopter une attitude ouverte face à la Vie… Cette cure n’est pas miraculeuse, elle crée les conditions du changement, et donne simplement tous les outils pour prendre sa santé en main, de manière naturelle et durable, au sein d'un groupe dont l'énergie curative apporte un soutien essentiel.

Le tarif et la liste des dates pour 2019 est disponible sur le site.

Inscrivez-vous dès maintenant pour la cure du 24 juin au 3 juillet 2019

Date limite d'inscription le 8 juin 2019

Si vous constituez un groupe de 6-7 personnes, nous pouvons fixer des dates ensemble. Réservez dès maintenant!

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